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Calendrier varois des samedis libérés
communiqué par l'IA le 29/08/2002
1er Trimestre
2ème Trimestre
3ème Trimestre
21 Septembre 18 Janvier 2003 7 Juin
12 Octobre 1er Février 28 Juin
23 Novembre 15 Février  
7 Décembre 22 Mars  
21 Décembre 12 Avril  

 


La FSU reçue par le Ministre de la Fonction Publique
Grève unitaire Jeudi 17 Octobre 2002 - Lire aussi "Priorité à l'Education"
Partir enseigner à l’étranger - Changer de département - Partir en retraite
Action du 18 septembre - Direction et fonctionnement de l'Ecole - Photos
Ristt
Lettre commune FSU, FAEN, FERC-CGT, SGEN-CFDT, UNSA Éducation  au Premier Ministre
Bulletin N°121 au format PDF à lire avec Acrobat Reader (Clic droit et "Enregistrer") (393 Ko) Publisher compressé ZIP (225 Ko) Bulletin Départemental N°121
Calendrier varois des samedis libérés communiqué par l'IA le 29/08/2002
Pré-rentrée
Réunions de secteur du SNUipp-FSU dans le Var
Bulletin N°120 au format PDF à lire avec Acrobat Reader (Clic droit et "Enregistrer") (448 Ko) Publisher compressé ZIP (208 Ko) Bulletin Départemental N°120 Bulletin de rentrée
Bulletin N°119 au format PDF à lire avec Acrobat Reader (Clic droit et "Enregistrer") (324 Ko) Publisher compressé ZIP (150 Ko) Bulletin Départemental N°119
Bulletin N°118 au format PDF à lire avec Acrobat Reader (Clic droit et "Enregistrer") (355 Ko) Publisher compressé ZIP (162 Ko) Bulletin Départemental N°118
Bulletin N°116 au format PDF à lire avec Acrobat Reader (Clic droit et "Enregistrer") (475 Ko) Publisher compressé ZIP (229 Ko) Bulletin Départemental N°116 "Spécial Dossier Intégration"
Propositions de la FSU - "Et si on osait l'Éducation ?"
Appel national "Face au marché, le service public !"

Dernière minute

Communiqué commun FAEN FERC-CGT FSU SGEN-CFDT UNSA Education

GREVE UNITAIRE

JEUDI 17 OCTOBRE 2002

"PRIORITE A L'EDUCATION"

  • Les fédérations FAEN, FERC-CGT, FSU, SGEN-CFDT, UNSA-Education s'étaient adressées le 12 septembre au Premier Ministre pour lui faire part de leurs demandes d'un véritable dialogue social et d'autres choix budgétaires permettant d'améliorer, transformer et démocratiser le système éducatif.
  • Le projet de Loi de Finances, présenté le 25 septembre en Conseil des Ministres, sans aucune discussion sur les missions et les besoins du système éducatif et de la recherche publique, confirme les choix d'une politique régressive dans ces domaines.
  • Le processus de décentralisation se poursuit dans les mêmes conditions sans qu'un bilan de l'existant soit mené ni un débat sur les conséquences pour le service public d'éducation, ses missions et ses personnels.
  • C'est pourquoi les fédérations appellent l'ensemble des personnels de l'éducation et de la recherche à une grève unitaire le jeudi 17 octobre 2002 pour :
    • d'autres choix budgétaires permettant d'améliorer le service public d'éducation et de conduire tous les jeunes à la réussite scolaire ;
    • une programmation pluriannuelle permettant les recrutements nécessaires pour faire face aux départs en retraite prévisibles ;
    • la résorption de la précarité ;
    • un service public dynamique, démocratique et assurant une véritable égalité.

Paris le 26 septembre 2002

Pour la priorité à l'éducation,

GREVE UNITAIRE

LE 17 OCTOBRE

Faire réussir ses élèves ! Cela constitue sans doute la plus grande satisfaction professionnelle et un défi quotidien. Et lorsque, comme à cette rentrée, les ministres annoncent vouloir améliorer les résultats de l'école, le décalage entre l'ambition affichée ("réduire la fracture scolaire") et les remèdes proposés est frappant ! D'autant que les annonces budgétaires ne prêtent pas à l'optimisme. Tout ne se mesure pas à la calculette mais le projet de budget donne de sérieuses indications sur la considération que le gouvernement accorde à l'Education.

Le budget de l'Education nationale n'est pas même évoqué dans la communication du conseil des ministres du 25 septembre dernier portant sur le budget de l'Etat pour 2003. "Les priorités du gouvernement (justice, sécurité, aide publique au développement et remise à niveau de l'équipement des forces armées) bénéficient de moyens supplémentaires importants" indique le communiqué de Matignon.

Pour les écoles 1000 postes nouveaux sont prévus mais rappelons que 41000 élèves supplémentaires vont pousser la porte des classes à la rentrée 2003 (soit une création de postes pour 41 élèves).

Des suppressions de postes sont annoncées dans le second degré, rompant ainsi avec les engagements du plan pluri-annuel. Puisque le ministère martèle qu'il n'y a pas que le quantitatif, penchons nous sur le quantitatif.

Silence radio d'abord autour de l'école maternelle dont le nombre d'élèves par classe est toujours élevé. C'est franchement incompréhensible. Nous avons en France une école maternelle que beaucoup de nos voisins européens nous envient. Il est démontré que la scolarisation précoce est un important facteur de réussite, or pas plus en juin dernier qu'à cette rentrée, la maternelle n'est évoquée dans les discours ministériels.

Silence aussi sur les ZEP, ces secteurs en grande difficulté où l'on a choisi de donner plus à ceux qui ont le moins. Prévenir ou guérir : faut-il éviter des échecs scolaires où tenter de réparer les dégâts ultérieurement ? Si le bon sens commande d'anticiper pourquoi laisser en déshérence les secteurs difficiles ?

Silence encore sur tout le domaine de l'aide aux enfants en difficultés, l'AIS.

Les expérimentations lancées dans les cent classes de CP à effectifs allégés ne doivent pas conduire à différer des mesures d'aide pour tous les élèves en difficulté.

Voilà plusieurs années que le SNUipp préconise de constituer dans les écoles des équipes comprenant plus de maîtres que de classes. En matière de pédagogie, il n'y a pas de recette magique mais cela permettrait de travailler tantôt en grand groupe, tantôt en groupes à effectifs réduits pour remédier à une difficulté passagère. Cela donnerait aux enseignants la possibilité d'un regard pluriel sur l'enfant, d'échanger plus facilement leurs compétences (langues vivantes, informatique, éducation artistique…).

Certes, le SNUipp est ambitieux, exigeant pour l'école publique et cela représente forcément un coût budgétaire. Mais pourquoi ne jamais chiffrer le coût social, le coût économique, le coût humain de l'échec scolaire ? Quel est ce système où il faut toujours payer les factures d'eau au lieu de réparer les robinets qui fuient !

Enfin, il est bien dommage que les ministres aient si peu précisé leurs intentions en matière de langues vivantes, de classes à parcours culturel, de formation des enseignants ou encore qu'ils n'aient pas évoqué la situation des milliers d'enseignants qui vont assurer la responsabilité d'une classe sans formation préalable (ils étaient 6300 l'an dernier).

Heureusement que nous avons affaire à des jeunes professeurs des écoles motivés, heureusement qu'une vraie solidarité existe dans la profession, heureusement que les parents d'élèves sont très largement aux côtés des enseignants. "Il faut que les Françaises et les Français sentent qu'il y a une mobilisation nationale pour l 'école de la République et l'éducation" déclarait Jean-Pierre Raffarin le 24 septembre dernier devant les recteurs et inspecteurs d'académie à la Sorbonne.

L'appel des cinq fédérations syndicales pour une grève unitaire le 17 octobre prochain est aussi une façon d'y répondre.

COMMUNIQUE DE PRESSE du 30 septembre 2002

LA FSU REÇUE PAR LE MINISTRE DE LA FONCTION PUBLIQUE

Une délégation de la FSU a été reçue lundi 30 septembre dans la matinée par Jean-Paul Delevoye, ministre de la Fonction Publique, dans le cadre des réunions bilatérales préparatoires à une négociation sur la gestion des ressources humaines.
Le ministre a présenté le triple objectif de renforcement de l’efficacité du service public, d’une meilleure satisfaction des usagers et d’une plus grande valorisation des personnels.
Il a repéré comme autant de « défis » les questions de recrutement, du déroulement et de la durée des carrières, de la formation continue en lien avec les promotions, de la mobilité professionnelle et géographique.
Il a indiqué souhaiter aussi travailler les questions de l’égalité hommes-femmes et de l’action sociale. S’agissant des questions de décentralisation, il en a rappelé le calendrier et a annoncé d’ici un mois et demi une réunion interministérielle de concertation.
La FSU avait d’emblée posé la question de l’emploi public, exprimant ses plus vives inquiétudes sur les perspectives d’avancer vers la résorption de la précarité et celle du respect des engagements pris par voie législative, dans le contexte actuel de réduction du nombre des emplois.
Dans cette situation, la FSU redoute une réduction des recrutements externes alors que les besoins des services publics ne sont pas couverts.
Cela ne pourrait que déboucher sur de nouveaux recrutements de non-titulaires.
La FSU a demandé l’ouverture rapide de négociations salariales : l’augmentation, enfin confirmée de 0.7% au 1er décembre, est loin de permettre le maintien du pouvoir d’achat sur l’année 2002 et la question des bas salaires dans la Fonction publique doit être abordée, notamment en lien avec les mesures d’alignement des SMIC.
La FSU a exigé le maintien des congés de fin d’activité. Elle a demandé un bilan contradictoire des mesures de décentralisation intervenues depuis les années 80 et des garde-fous affirmés pour toute nouvelle mesure.
Elle a dénoncé, pour l’année 2003, le fait que les annonces sur la décentralisation n’aient jamais pu être débattues.
Enfin, elle a donné son accord pour discuter des thèmes proposés par le ministre, tout en indiquant qu’elle n’accepterait pas de troquer un meilleur déroulement de carrière contre une réduction de l’emploi public.

Les fédérations de fonctionnaires préparent un texte unitaire sur le budget 2003 [30/09/2002] PARIS (AP)
Les fédérations syndicales de fonctionnaires se sont réunies lundi après-midi au siège de la fédération-CGT à Montreuil (Seine-Saint-Denis) près de Paris, pour tenter d'adopter une position commune sur le budget 2003 dans leur secteur.
Un texte unitaire adressé au gouvernement -et dont une ébauche a été rédigée au cours de la réunion de lundi- devrait être rendu public «d'ici deux à trois jours», explique-t-on de source syndicale, le temps que certaines organisations consultent leurs instances respectives.
Les sept fédérations de fonctionnaires sont d'ores et déjà toutes d'accord pour considérer que le budget 2003 dans la Fonction publique est insuffisant.

 

Réunions d'Information Syndicale sur le Temps de Travail
organisées par le SNUipp-FSU du Var

Les demi-journées d’information syndicale, organisées par le SNUipp sur le temps de travail, sont ouvertes à tous les collègues syndiqué(e)s ou non syndiqué(e)s. Vous choisissez la date et le lieu qui vous conviennent.

Samedi 28 Septembre 2002
LA CRAU 8h30-11h30 Espace Jean Natte
DRAGUIGNAN 9h-12h Maison Jeunesse et Sports
TOULON 8h30-11h30 Ecole élémentaire Trois Quartiers
Samedi 5 Octobre 2002
FREJUS 8h30-11h30 Ecole élémentaire Fréjus Plage
LA SEYNE 8h30-11h30 Ecole élémentaire Saint-Exupéry
TOURVES 9h-12h Espace Culturel
Samedi 9 Novembre - 9h-12h Université La Garde
"Sécurité - Responsabilité"
avec la participation de Gilbert CASTELLI, Secrétaire national
et Didier SEBAN, avocat

Retenez cette date et participez à cette réunion/débat dans le cadre des réunions d’information syndicales organisées par le SNUipp sur le temps de travail. Chacun(e) a droit à 2 demi-journées par an. (Décret du 28 mai 1982)

 

ACTION NATIONALE UNITAIRE Mercredi 18 septembre à TOULON Direction et fonctionnement de l’école, pour des moyens supplémentaires.

Tous concernés

  • Les trois syndicats, SNUipp, SE et Sgen réunis le 6 septembre à Toulon ont fixé les modalités départementales de l’action nationale unitaire Direction et fonctionnement de l’école, pour des moyens supplémentaires.
  • Le 18 septembre à Toulon la manifestation prendra la forme d’une opération escargot avec les voitures
  • Rendez vous à 10 h Parking plages du Mourillon 4ème anse décoration des voitures consignes précises et parcours vous seront alors distribués
  • Départ en cortège à 10 h 30 jusqu’à la Préfecture (arrivée prévue 11 h 30)
  • Audience en Préfecture à 11 h 30
  • Cette action sera fortement médiatisée.
  • Nous comptons sur votre présence et sur votre expression (décoration des voitures, slogans)





 

Lettre commune FSU, FAEN, FERC-CGT, SGEN-CFDT, UNSA Éducation 
au Premier Ministre

Monsieur Jean-Pierre RAFFARIN
Premier Ministre
Hôtel Matignon
57 rue de Varenne
75007 Paris

Paris, le 12 septembre 2002

Monsieur le Premier Ministre

Nous vous êtes engagé fortement à ce que votre gouvernement pratique le dialogue social. Force est de constater que ce dialogue n’existe pas dans l’Éducation et la Recherche.

Les arbitrages budgétaires ont été rendus a priori sans qu’il y ait pu avoir la moindre discussion sur les missions et les besoins du système éducatif et de la recherche publique. Les engagements de l’État ont été abandonnés, qu’il s’agisse des plans pluriannuels de création d’emplois ou de la résorption de la précarité.

Les choix budgétaires actuellement connus consacrent l’abandon de la priorité à l’éducation. Ils empêchent toute amélioration durable du système éducatif et sont contradictoires avec le besoin largement exprimé d’une consolidation du lien social et d’un meilleur encadrement des jeunes par l’ensemble des personnels (MI-SE, personnels d’éducation, IATOSS, Aides Éducateurs…). Ils sont de nature à compromettre les recrutements nécessaires pour faire face aux départs en retraite prévisibles.

La baisse annoncée du budget de la recherche publique va à l’encontre même des engagements du Président de la République.

Le processus de décentralisation que vous avez annoncé nous semble avancer sans que soit fait un bilan de l’existant ni mené le débat sur ses conséquences pour le service public d’éducation, ses missions et ses personnels. Un processus d’une telle importance ne peut se mener ni en catimini ni à marches forcées.

Les fédérations soussignées en appellent solennellement à vous pour que d’autres choix budgétaires soient faits dans l’intérêt des jeunes et pour qu’enfin un véritable débat dans la transparence soit engagé pour améliorer, transformer et démocratiser le système éducatif.

Nous espérons que le Conseil des Ministres du 25 septembre permettra d’apporter des premières réponses  positives en matière budgétaire. Les fédérations se réuniront le jour même pour apprécier vos décisions et prendront leurs responsabilités en conséquence.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de nos sentiments respectueux.

Partir enseigner à l’étranger

Réunion d’information ouverte à tous

Mercredi 13 novembre

de 14h à 17h à Carnoules Salle du Moulin à Huile

Avec la participation de Philippe SEVERAC, responsable national du secteur Hors de France du SNUipp

Vous voulez changer de département à la rentrée 2003 ?

Il faut attendre la publication de la note de service au BOEN, ainsi que la circulaire de l’IA du Var vous donnant le calendrier précis (en principe en octobre).

Vous ferez alors votre demande par Minitel et vous devrez confirmer à l’IA avant la mi-décembre.

Les résultats seront connus d’ici fin mars. N’hésitez pas à nous contacter !

Partir en retraite

Pour répondre aux multiples questions que vous vous posez (quand partir ? à combien s’élèvera ma pension ai-je droit à une majoration ? à une bonification ?...), le SNUipp a édité une “fiche retraite” qui permet d’étudier chaque situation personnelle et de répondre au mieux à vos interrogations. N’hésitez pas à nous contacter !

 

  • Ajustements de rentrée 2002 : carte scolaire des écoles, décisions de l'IA à la suite du CTPD (comité technique paritaire dép.) du 6/9/2002

    OUVERTURES :
  • Elémentaires Tissot Le Cannet, Primaire Montfort, Turcan Fréjus, 4 vents Seillons, Jean de Florette St Cyr, Mistral Toulon, Roux Fréjus.
  • Maternelles Michelet Hyères (accueil provisoire à Matisse), Colombier Pignans, Grands Prés Flassans, Carces, Garéoult, Lou Pitchoun Puget Ville, Legouhy Lavandou, St Exupéry Hyères (+0,25 déch direction), les oliviers Ollioules, Nans (+0.25 déch direction), Daudet Puget/Argens, St Louis Toulon.

    FERMETURES :
  • Elementaires Centre Le Muy, Giono La Seyne.
  • Maternelle freinet La Valette.

  • Les postes de psy et de rééducateurs vacants (faute de personnels spécialisés) seront implantés la semaine prochaine en tant que TMB (titulaires mobiles).
  • 1 de ces moyens est transformé en MAD (Mis à Disposition) dans la ZEP de La Seyne, pour intervenir majoritairement sur l'école Giono.

Lire l'analyse du SNUipp dans le prochain bulletin (à paraître).

  • Syndiquez-vous, re-syndiquez-vous au SNUipp-FSU le plus vite possible pour faciliter l'organisation et la trésorerie - Pensez à syndiquer les collègues enseignants et les aides-éducateurs
  • Pré-rentrée
    Nous rappelons que le SNUipp a décidé de soutenir tous les collègues qui refuseront collectivement de rattraper hors du temps de travail les deux demi-journées de concertation pré-rentrée.
    D'une manière générale, nous appelons les collègues à refuser toute démarche imposée qui ne correspondrait pas aux besoins de l'école.
    La pré-rentrée se fait avant la rentrée... !

  • Communiqué du SNUipp national "Rentrée 2002-2003"
Bonne rentrée à tous !
participez aux réunions
SNUipp-FSU
MARDI 3 à 17h

DRAGUIGNAN Bourse du Travail - Rue Cisson
FREJUS Ecole élémentaire Fréjus Plage
HYERES Ecole Maternelle Eugénie
LA SEYNE Ecole Maternelle Jean Zay
SAINT-MAXIMIN Ecole élémentaire Jean Jaurès
TOULON Ecole élémentaire Muraire
    • Apportez ou renvoyez l'enquête carte scolaire pour préparer le CTPD du vendredi 6

    • Syndiquez-vous, re-syndiquez-vous au SNUipp-FSU le plus vite possible pour faciliter l'organisation et la trésorerie - Pensez à syndiquer les collègues enseignants et les aides-éducateurs

Pré-rentrée

Nous rappelons que le SNUipp a décidé de soutenir tous les collègues qui refuseront collectivement de rattraper hors du temps de travail les deux demi-journées de concertation pré-rentrée.

D'une manière générale, nous appelons les collègues à refuser toute démarche imposée qui ne correspondrait pas aux besoins de l'école.

La pré-rentrée se fait avant la rentrée... !

Calendrier varois des samedis libérés
communiqué par l'IA le 29/08/2002
1er Trimestre
2ème Trimestre
3ème Trimestre
21 Septembre 18 Janvier 2003 7 Juin
12 Octobre 1er Février 28 Juin
23 Novembre 15 Février  
7 Décembre 22 Mars  
21 Décembre 12 Avril  
URGENT - Signez, faites signer et renvoyez la nouvelle pétition pour le rattrapage des retards de l'Académie de Nice qui était insérée dans le dernier Bulletin du SNUipp Var
 

Bulletin N°119
Mouvement 2002 CAPD 20 juin 2ème phase Affectations groupe de travail jeudi 27 juin Affectations des TRS par circonscriptions/ brèves TRS/ DDEAS, PSY, CAPSAIS / Du côté de l’IUFM / Vie syndicale Résultats CRPE / Carte Scolaire /Stage direction d’école / Réunion AIS 21 Juin / Pré rentrée / Se syndiquer

Et si on osait l’Éducation?

Si le débat éducatif n’est jamais achevé, les échéances électorales ne peuvent laisser la question de l’éducation hors du débat démocratique que chacun est en droit d’espérer.

Trop de choses lient notre école à notre société pour qu’on puisse accepter une impasse implicite ou convenue sur ce sujet.

La FSU, à la place qui est la sienne, tient à apporter sa contribution à la réflexion qui s’impose sur la place, le rôle et l’évolution des services publics qui participent à l’éducation et à la formation de notre jeunesse.

Il n’est pas acceptable qu’aujourd’hui trop souvent, on ne parle de la jeunesse qu’à travers le prisme de la délinquance et de l’insécurité.

Loin de l’exclusion, de l’irresponsabilité, de la stigmatisation, de la dépendance ou de l’individualisme, le propos de la FSU veut être simultanément celui de la confiance et de l’exigence.

Les jeunes doivent pouvoir devenir acteurs d’une société plus tournée vers la justice et le progrès.

Pour la FSU, il ne peut y avoir qu’un seul choix : celui d’une politique ambitieuse pour tous les jeunes.

Il faut leur offrir autre chose qu’un avenir bouché et des emplois précaires.

Nous devons nous fixer l’objectif d’une Éducation fondée sur une laïcité renouvelée, plus soucieuse de liberté et de fraternité, d’universel, mais aussi respectueuse des différences et des cultures.

Lire l'appel et les propositions de la FSU - Télécharger le 4 pages au format PDF

Face au marché, le service public !

A Paris et Barcelone plus de 300 000 manifestants ont rappelé leur refus de l’ouverture des services publics à la concurrence. Pourtant, la perspective de déréglementation reste présentée comme la seule envisageable en Europe. Les décisions prises à Barcelone , par les Chefs d'Etats européens, d'ouverture à la concurrence de l'énergie, même si elles ne sont pas sans conséquence, n'obligent pas pour autant l'ouverture du capital d'EDF. En France se développe une offensive pour l’ouverture du capital d’EDF et de GDF, qui met ainsi leur avenir en cause. Au delà, elle menace tout le service public et vise à empêcher toute construction de perspective alternative à la transformation du monde en marchandise.

Certes, le terme de privatisation est évité. Mais l’introduction du capital privé et partant, l’emprise des marchés boursiers, conduirait de facto à faire prévaloir les exigences de rentabilité financière. Or, l'expérience l'atteste, celles-ci s’avèrent incompatibles avec les besoins des populations.

Le krach électrique en Californie, les hausses de prix et les mises de fonds publics  nécessaires pour pallier l’incurie libérale, la faillite d’ENRON, la situation des chemins de fer britanniques sont révélateurs des impasses du double mouvement de libéralisation et de privatisation des services publics. Plus près de nous les difficultés actuelles de France Télécom, le scandale des surfacturations imposées par tous les opérateurs de téléphonie portable en témoignent.

Consommateurs, salariés, citoyens nous sommes tous perdants !

Partout ces politiques ont les mêmes conséquences : exclusion des populations non-solvables, dégradation de la qualité du service, souffrance des salariés, précarisation et réduction de l’emploi. La logique du profit l’emporte sur la solidarité et la démocratie recule. Car l’ouverture du capital, nouvelle étape dans la « normalisation » d’entreprises et d’institutions, représente bien davantage qu’une simple option économique: elle entend discréditer toute logique de solidarité et de partage – à la base du service public – et toute possibilité d'alternative au libéralisme.

Parce que la privatisation de biens publics essentiels au développement humain hypothèque l’avenir de la planète et de l’humanité, nous sommes de plus en plus nombreux, en Europe et dans le monde, à nous alarmer des conséquences de la généralisation de la concurrence et des privatisations dans le secteur énergétique. L’attachement aux services et aux entreprises publiques, traduit le caractère singulier de l’eau, de la santé, de l’éducation, du logement, de la culture, des transports, de la communication, etc. Leur accès est vital, et s'inscrit dans les droits universels qui doivent être garanti à chaque être humain.

Pour satisfaire ces droits, pour assurer l’avenir des services et des entreprises publiques, le renforcement de la démocratie et la promotion de l’intervention des populations sont nécessaires. C’est aussi la condition pour que leurs politiques européennes et internationales soient réellement mises au service du développement, de la coopération, et d'une nouvelle solidarité internationales.

S’engager dans cette voie passe par l’élargissement inédit et concret de droits démocratiques des salariés, des usagers et des populations que nous opposons à la concurrence et à la privatisation. Cela implique de garantir et de renforcer la maîtrise publique de ces services et entreprises.

Ces questions constituent un véritable enjeu de société. Elles ne peuvent être traitées en catimini, sans réel débat démocratique.

Notre prise de position contre les privatisations d’EDF et GDF et pour l’avenir des services publics vise également à poursuivre et développer des initiatives rassemblant salariés, usagers et citoyens, au niveau local, national, et international.

Nous appelons d’ores et déjà à une rencontre publique le Samedi 25 mai 2002 à Paris et nous nous inscrivons dans la perspective de mobilisation à l’occasion du sommet européen de Séville et du sommet mondial de Johannesburg.

Liste des premiers signataires