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FSU
- Communiqué de presse
"Mineurs : protéger et prévenir plutôt
que stigmatiser et déclarer la guerre"
En
validant un arrêté municipal interdisant la libre circulation
des mineurs de moins de 13 ans entre 23 heures et 6 heures,
le Conseil d’Etat légitime une mesure qui cible certains
quartiers au risque de les stigmatiser encore un peu plus.
En apportant ce type de réponse à un problème quantitativement
limité, elle risque même de créer de nouvelles tensions.
De plus cette mesure ne réglera rien sur le fond.
C’est
pourquoi la FSU considère qu’une véritable réflexion doit
être menée sur l’aide à apporter à des familles en difficulté
avec leurs enfants. Il est notamment urgent de mettre en
œuvre des mesures sociales permettant à tous les enfants
de partir en vacances.
La
FSU se prononce pour une politique globale de prévention
de la violence et la délinquance. Elle demande que les pouvoirs
publics prennent des mesures visant tout à la fois à remédier
à la ghettoïsation croissante des quartiers et à instaurer
le respect du droit sur l’ensemble du territoire. Il faut
également que se développe tout un ensemble de mesures d’accueil
et de prévention éducative en direction de jeunes, souvent
plus en danger que dangereux qui doivent bénéficier d’une
formation de qualité puis d’une véritable insertion professionnelle.
12
juillet 2001

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Communiqué
commun FERC/CGT - FSU - SGEN/CFDT - UNSA
"Education
Temps de travail, emploi, précarité : appel à l'action en
Septembre"
Les
dossiers de l'emploi, de l'ARTT, de la précarité font l'objet
de blocages gouvernementaux persistants.
Les
Fédérations FERC/CGT, FSU, SGEN/CFDT et UNSA Education appellent
l'ensemble des personnels de l'Education, de la Jeunesse
et des Sports, de la Recherche et de leurs champs respectifs
à faire converger leurs initiatives d'actions dans la troisième
semaine de Septembre autour de leurs exigences sur l'emploi
public.
Elles
les appellent à organiser notamment une journée inter-fédérale
de manifestations dans les départements ou les régions le
Samedi 22 Septembre :
- pour
obtenir et mettre en oeuvre, pour tous les personnels,
la réduction du temps de travail et son aménagement avec
les créations d'emplois correspondantes.
- pour
améliorer et développer les missions de service public.
- pour
mettre fin à la précarité.
- pour
un budget 2002 qui prenne en compte ces revendications.
Elles
les appellent à discuter à cette occasion des suites à donner,
y compris d'une perspective de grève, si le gouvernement
n'apporte pas de réponse à leurs attentes.
PARIS,
le 11 Juillet 2001

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FSU
- Communiqué de presse
"Dialogue
social dans la fonction publique"
Le
ministre de la Fonction Publique vient d'informer les fédérations
de fonctionnaires qu'il allait confier à une personnalité
une mission de réflexion sur “ le dialogue social ” dans
la Fonction publique qui devait déboucher sur la rédaction
d'un livre blanc. Il est vrai que le blocage des discussions
avec son ministère sur les grands dossiers du moment, salaires
et réduction du temps de travail par exemple, devraient
constituer un sérieux sujet de méditation pour les pouvoirs
publics.
La
qualité des services publics passe par l’instauration d’un
véritable dialogue social associant vraiment toutes les
organisations syndicales représentatives et qui assure à
tous les personnels qu’ils seront vraiment écoutés.
La
FSU demande que de nouvelles règles de représentativité
soient adoptées qui prennent en compte le vote émis par
les personnels lors des élections professionnelles et leur
laissent une entière liberté de choix.
La
FSU est favorable également à ce qu’une obligation de négociation
soit instaurée de manière régulière et à ce que des champs
nouveaux de discussion soient ouverts. Plusieurs pistes
peuvent être explorées par exemple :
-
l’évolution des besoins des services publics sur tout
le territoire national dans le but d’une amélioration
de leur fonctionnement,
-
la situation des agents au regard de leurs déroulement
de carrière, de leurs possibilité de la voir évoluer,
de bénéficier de nouveaux droits en matière de mobilités.
Pour
la FSU, l’instauration d’un nouveau “ dialogue social ”
ne doit cependant pas aboutir à remettre en cause les principes
qui fondent la fonction publique.
Enfin
il ne faut pas oublier que les blocages actuels ne relèvent
pas d’abord de problèmes de méthode mais du refus du gouvernement
d’entendre et de discuter les attentes des personnels et
des usagers.
La
FSU est prête à contribuer à toute amélioration des modes
de discussion mais cette discussion ne saurait se substituer
au traitement des questions de fond.
10
juillet 2001

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FSU
- Communiqué de presse
"Retraites
: la FSU pour les solidarités entre salariés
et entre générations"
Le conseil d'orientation des retraites entre actuellement
dans une phase décisive de la préparation de son premier
rapport, en entamant une réflexion sur “ les mesures de
rééquilibrage du système de retraite ”, à laquelle il vient
de consacrer une séance plénière le 4 juillet . C’est dans
ce cadre qu’ont été avancées des premières réflexions sur
“ une politique et des mesures de rééquilibrage du système
de retraite ” et sur “ la situation des fonctionnaires ”.
Les documents examinés mettent positivement l'accent sur
l'importance des politiques de l'emploi, de la formation
et du travail pour aller à l'encontre des évictions massives
du marché du travail après 55 ans avec les très coûteux
dispositifs de préretraites dans le privé qui déguisent
le chômage. Ils évoquent aussi des hypothèses assez ouvertes
sur l'amélioration du financement de la protection sociale.
Mais en même temps ils tendent à focaliser les ajustements
sur l'allongement de la durée de cotisation plutôt que sur
de nouveaux financements, alors que la richesse produite
devant doubler d’ici 40 ans, les besoins de financement
supplémentaires représenteraient 4 points du PIB et ne correspondraient
qu’à une augmentation de 30% du taux de cotisation. Ils
s'accommodent de la dégradation des taux de remplacement
en train de se réaliser pour le privé avec la mise en œuvre
progressive de la réforme Balladur (notamment du fait de
l’indexation des pensions sur les prix et non pas sur les
salaires). Cette ambiguïté se retrouve dans l'examen de
la situation des fonctionnaires. D'un côté il y a reconnaissance
de phénomènes comme les contraintes vécues en fin de carrière
et "les conditions de travail usantes, les fonctions qui
génèrent tension et stress". Certaines suggestions qui méritent
d'être discutées sont faites sur l'élargissement nécessaire
des possibilités de promotions, de "deuxième carrière",
de mobilité, l'amélioration du passage de la vie active
à la retraite. Mais tout ce propos peut changer de sens
dès lors qu’on décrète que la montée en puissance d'un tel
dispositif pourrait se conjuguer avec la progressivité de
l'allongement de durée de cotisations ”.
Ainsi
la principale mesure d’ajustement qui risque d’être retenue
pour le débat public se ramène à généraliser les 40 annuités,
dans le prolongement de l’intervention de Lionel Jospin
de mars 2000, alors que les travaux du COR eux-mêmes présentent
bien d’autres paramètres plus déterminants pour maîtriser
l’avenir des retraites.
La
FSU continuera à contribuer à la réflexion la plus ouverte
possible pour conforter les solidarités entre les salariés
et entre les générations. Elle met en avant, pour sa part,
la nécessité de références communes à tous les salariés
du privé et du public pour un droit à la retraite à taux
plein à 60 ans avec 37.5 annuités, ainsi que des propositions
pour améliorer le financement des pensions, tout en soulignant
que ce dernier pourra être facilité par des choix plus favorables
à l’emploi et à la croissance. Elle met l’accent sur ses
propositions pour valider les années de formation, mieux
prendre en compte la pénibilité du travail et permettre
de réelles libertés de choix dans la transition entre activité
et retraite. C’est dans cet esprit que la FSU est intervenue
le 4 juillet et qu’elle entend développer une campagne de
débats publics dans les mois qui viennent avec l’ensemble
des forces syndicales.
Paris,
le 4 juillet 2001

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SNUipp
- Communiqué de presse
"Direction
d'Ecole : Ouverture officielle des négociations"
Christian
Forestier, directeur de Cabinet du ministre, a ouvert les
négociations sur la direction d'école en communiquant aux
organisations syndicales un document soumis à discussion.
Les négociations porteront sur les conditions d'accès à
la fonction, les décharges, les indemnités. Elles porteront
également sur de possibles " groupements d'écoles " ou "
regroupements d'écoles associées ", dont l'objectif affiché
serait d'alléger une partie du travail administratif de
chaque directeur d'école. Des dates de négociations sont
d'ores et déjà fixées : le 7 et le 14 septembre. D'ici là,
et afin de faire évoluer les propositions ministérielles,
le SNUipp appelle les écoles à poursuivre la grève administrative.
Il rendra compte, à chaque étape des discussions avec le
ministère, des avancées et des blocages et consultera les
personnels avant de donner un avis final.
Paris,
le 5 juillet 2001

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Les
500 fortunes françaises - Classement 2001 - "Challenges"
- N°160 - Index
des articles
Extraits
Riches 2001 - La roue de la fortune tourne à plein régime
: les riches sont plus riches et de plus en plus nombreux.
Et ils ne s'en cachent plus. Dudas / Sipa Pour commencer
un chiffre : 164 %. Cela ne vous dit rien ? C'est la progression,
depuis l'inauguration de notre classement, en 1996, de la
fortune de Liliane Bettencourt - redevenue cette année la
femme la plus riche de France. Il y a mieux : 340 %. C'est
la variation - à la hausse, bien sûr - du patrimoine professionnel
de Bernard Arnault en cinq ans. Encore plus fort : François
Pinault s'est, lui, enrichi de 625 % au cours de la même
période. Vous en redemandez ? De la famille Bouygues, (+
481 %), de la famille Peugeot (+ 219 %) de la famille Mulliez,
reine d'Auchan (+ 102 %) ? Et tout cela pour dire quoi ?
Simplement que nos milliardaires se portent bien, merci.
Les enfants reçoivent une éducation royale
Le droit divin est mort, vive la méritocratie. Pour hériter
du poste de son père, le fils se doit d'être excellent dans
ses études. On l'y aide, comme au temps des rois.

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