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"Chaud devant !"

FSU : Communiqué de Presse du 28 novembre 2000
Salaires dans la Fonction Publique
La FSU propose une grève unitaire

La FSU s’adresse solennellement au gouvernement pour qu’il engage de véritables négociations salariales sur de tout autres bases que les annonces dérisoires et provocatrices faites le 21 novembre.

Les fonctionnaires attendent des propositions pour assurer le maintien et la progression de leur pouvoir d’achat en 2000 comme en 2001, régler la question des bas salaires et engager un processus de reconstruction de la grille des rémunérations.

La FSU s’adresse dès aujourd’hui à toutes les fédérations et organisations de fonctionnaires pour effectuer une démarche commune auprès du gouvernement et leur propose de décider ensemble d’une grève, qui pourrait se situer en janvier, rassemblant l’ensemble des fonctionnaires des trois fonctions publiques, si le gouvernement persiste à rester sourd aux revendications.

La FSU entend contribuer à ce que se développent dès maintenant des initiatives dans l’unité la plus large, notamment avec les nouveaux rendez-vous qui se dessinent comme le 7 décembre.

Dans tout ce contexte, la FSU développera une intense campagne autour de ses revendications.

 

Dernière minute

Sur le site national du SNUipp : le dossier sur les annonces du Gouvernement et les réactions du SNUipp et de la FSU

COMMUNIQUE DU SNUipp
"Rupture avec le gel de l’emploi public ... mais la transformation de l’école reste à faire"

Documents du Ministère à télécharger au format PDF

Présentation du plan pluriannuel pour l’Éducation nationale
Point de presse de Jack Lang, Ministre de l'Éducation nationale

COMMUNIQUE DU SNUipp

Rupture avec le gel de l’emploi public...
mais la transformation de l’école reste à faire

L’adoption d’un plan pluriannuel représente une première dans les écoles. La création de 2 400 postes en 3 ans, l’augmentation en moyenne de 22 % du nombre de places aux concours de recrutement des Professeurs des Ecoles sont à mettre au compte des puissants mouvements revendicatifs conduits en février-mars 2000.

Pour autant, si ces mesures apparaissent comme tranchant avec les choix budgétaires précédents marqués par le gel de l’emploi public, elles restent loin des attentes exprimées par les parents et les enseignants pour la transformation de l’école.

Le volume des créations de postes est insuffisant pour impulser une dynamique de lutte contre l’échec scolaire, de prise en charge de tous les élèves en difficultés, pour assurer tous les enseignements et notamment généraliser celui des langues vivantes et des TICE.

Il n’est pas de nature à promouvoir le développement du travail en équipe dans les 55 000 écoles avec plus de maîtres que de classes afin de rompre avec l’exercice solitaire du métier.

De même, il ne permet pas d’améliorer la direction et le fonctionnement de l’école, de résorber les situations difficiles.

L’adoption d’un plan pluriannuel de recrutement était inscrit dans la Loi d’Orientation de 1989. Il n’avait jamais vu le jour.

Son adoption est un acquis.

Mais l’augmentation des recrutements est inférieure aux départs à la retraite.

Le recours aux recrutements de Professeurs des Ecoles sur les listes complémentaires des concours, qui se traduit par l’affectation dans des classes d’enseignants sans formation, restera à un niveau trop élevé (en moyenne 2 000 par an au lieu de 5 500 cette année).

La réforme des IUFM reste à faire, avec notamment la nécessité d’assurer une véritable formation au cours de la première année d’exercice.

La transformation de l’école passe non seulement par des choix budgétaires beaucoup plus ambitieux mais également par l’adoption de mesures concrètes de nature à traduire des changements sensibles dans le quotidien de la vie des écoles.

Le SNUipp s’adresse aux partenaires du 16 et du 24 mars dernier afin de construire une action unitaire pour la transformation de l’école.

Il appelle les personnels à se réunir pour apprécier les mesures au regard de leurs exigences et débattre des actions à mener.

PARIS, le 15 Novembre 2000

L'Education nationale prévoit de recruter 185.000 enseignants d'ici 2005

mercredi 15 novembre 2000 - 11h12 - PARIS (AFP)

L'Education nationale prévoit de recruter 185.000 enseignants de la maternelle au lycée d'ici 2005, dont 17.300 seront des créations d'emplois sur les trois premières années, a annoncé mercredi le ministre de l'Education nationale Jack Lang.

Le plan pluriannuel pour l'emploi dans l'Education nationale, présenté par M. Lang et le ministre délégué à l'Enseignement professionnel Jean-Luc Mélenchon, est "un acte profondément politique, pas seulement un exercice comptable", a déclaré le ministre, en saluant la "résistance du Premier ministre Lionel Jospin", face aux pressions contraires venues notamment de Bercy.

"Nous croyons très fort que si la France et ses habitants veulent échapper à la robotisation, ils ont besoin d'éducation. L'investissement dans l'intelligence doit être le premier acte de politique économique du pays", a ajouté Jack Lang.

Au cours des trois premières années du plan, 2.400 postes nouveaux d'instituteurs vont être créés, ainsi que 14.900 postes d'enseignants dans les collèges et lycées, dont 9.000 seront des titularisations de personnels à statut précaire.

Le plan prévoit aussi 4.675 créations de postes de personnels non enseignants ATOS et médicaux sociaux, ainsi que 5.600 emplois dans l'enseignement supérieur, dont 3.000 ATOS.

Le reste des recrutements, qui constitue la grosse masse de l'ensemble sur les cinq ans à venir, vient du remplacement prévisible de toute une génération d'enseignants issue du baby-boom.

FSU : COMMUNIQUE DE PRESSE 13 novembre 2000

LE BUDGET DE L’ÉDUCATION NATIONALE DISCUTÉ A L’ASSEMBLÉE NATIONALE

S’il est vrai que pour la première fois depuis des années le budget de l’éducation nationale qui est débattu aujourd’hui à l’assemblée nationale comporte des créations nettes d’emplois de personnels enseignants pour tous les niveaux d’enseignement, d’ATOS, d’infirmières et d’assistantes sociales, de médecins scolaires, s’il comporte aussi pour la première fois des transformations d’heures supplémentaires en emplois, il est également vrai que ces créations d’emplois ne comblent que partiellement les retards et les déficits constatés pour accueillir dans de meilleures conditions les élèves et les étudiants et pour assurer la réussite de tous.

Ce budget ne comporte aucune mesure nouvelle pour les personnels notamment en matière de carrière hormis les mesures prises pour permettre des titularisations.

C’est pourquoi la FSU attend de la représentation nationale qu’elle prenne conscience de l’effort qui reste à faire pour relancer la démocratisation à tous les niveaux, résorber les inégalités scolaires et sociales, pour lutter contre l’échec, améliorer la formation initiale et continue des personnels et s’engager dans la voie de la réduction du temps de travail.

La FSU lui demande de relever que si la croissance se développe, avec le budget 2OO1, la part du budget de l’éducation nationale dans le PIB continue de décroître signe que les richesses crées ne servent pas prioritairement à améliorer le service public d’éducation.

Dans l’attente du plan pluriannuel la FSU insiste sur la nécessité que ce plan aille bien au-delà des mesures prévues par le budget 2OO1.

 

Monique Vuaillat Pierre Duharcourt
Secrétaires Généraux de la FSU

Monsieur Lionel Jospin
Premier Ministre
Hôtel Matignon
57 rue de Varenne
75700 Paris

Paris, le 7 novembre 2000

 

Monsieur le Premier Ministre,

Le 17 mars dernier, alors que les personnels de l’éducation nationale conduisaient d’importantes actions depuis plusieurs semaines à l’initiative des principales fédérations syndicales pour l’accroissement des moyens nécessaires à l’amélioration du service public d’éducation, vous annonciez votre décision d’un plan pluriannuel pour l’éducation. Nous avons apprécié et pris au sérieux cette décision.

Nous avons formulé des propositions très précises pour ce plan tant au plan qualitatif que quantitatif pour transformer le système éducatif, prévoir les recrutements en personnels qualifiés d’autant plus nécessaires que nos professions vont profondément se renouveler dans les dix ans qui viennent.

Nous nous sommes réjouis que cette démarche soit reprise par le Ministre de la fonction publique qui affirme la nécessité d’une gestion prévisionnelle de l’emploi public.

Nous aurions souhaité pouvoir vous faire part de ces propositions que nous vous avons adressées.

A ce jour cela n’a pas été possible et nous le regrettons. Notre fédération est très étonnée de constater qu’à ce jour aucune hypothèse ministérielle n’a été soumise à discussion.

Le Ministère de l’éducation nous annonce simplement qu’il recevra à ce sujet les fédérations du secteur dans les tous prochains jours.

Les quelques éléments qui filtrent sur les « arbitrages » qui seraient en cours nous font craindre que ce plan pluriannuel soit d’une portée sans commune mesure avec les réformes qu’il faut engager en particulier pour qu’une véritable priorité soit accordée à une lutte précoce contre les difficultés et l’échec scolaire.

Cette crainte est renforcée par le constat des insuffisances du projet de budget 2 OO1.

Malgré quelques mesures positives de créations d'emplois et de transformations de crédits et d’heures supplémentaires en emplois, ce projet sous estime l’ampleur des renouvellements de personnels auxquels il faut se préparer dès maintenant ainsi que les risques d’une pénurie dans certains secteurs.

L’opinion, les parents d’élèves, les personnels ne comprendraient pas qu’alors que se développe la croissance, et que tout montre que la diminution du chômage des jeunes profite d’abord à ceux qui ont des diplômes et des formations, que la part des dépenses pour l’éducation dans le PIB continue à décroître comme c’est encore le cas avec le projet de 2OO1.

L’augmentation des richesses créées doit au contraire relancer la priorité donnée à la formation de la jeunesse qui constitue un investissement essentiel pour l’avenir.

Le plan pluriannuel devrait être l’occasion de donner un élan nouveau au service public et d’accompagner des mesures qualitatives pour développer la formation de tous et relancer la démocratisation, pour redynamiser les formations scientifiques en panne à tous les niveaux, pour attirer dans le service public d’éducation les meilleurs étudiants et faire évoluer les qualifications des personnels ainsi que les conditions dans lesquels ils exercent des métiers devenus de plus en plus difficiles. La FSU en appelle à votre engagement du 17 mars dernier.

Nous avons saisi les autres organisations syndicales de cette situation.

Si tel n’était pas le cas nous ne pourrions qu’en tirer les conséquences en invitant les personnels à réagir à cette situation.

Veuillez agréer Monsieur le Premier Ministre l’expression de nos sentiments respectueux

Monique Vuaillat Pierre Duharcourt
Secrétaires Généraux

 

Le Ministère a fait savoir aux organisateurs des grèves et manifestations des 16 et 24 mars qu'il les recevrait d'ici le 16 novembre pour leur présenter les grandes lignes du plan pluriannuel.

D'ores et déjà, le SNUipp a pris les contacts nécessaires avec les autres organisations de la FSU et les autres syndicats du premier dégré pour préparer une action nationale si ce plan ne répondait pas aux besoins et attentes.

Pour une vraie programmation des moyens
pour l’école et sa transformation !

Il y a maintenant 6 mois que le Premier Ministre a annoncé le principe d’un plan pluriannuel et le gouvernement n’a toujours pas fait connaître ses intentions en matière d’objectifs et de contenus de ce plan.

Pour la majorité de la profession, la réalité du quotidien n’a pas changé à cette rentrée. L’Education n’a déjà que trop souffert de l’absence de programmation et des politiques budgétaires à courte vue.

Les questions des recrutements et des créations de postes sont décisives.

Le 25 octobre, le SNUipp a interpellé l’ensemble des députés et des sénateurs du Var.

Un document contenant nos premiers éléments d’analyse du budget de l’Education Nationale ainsi que leurs traductions pour le Var leur a été remis pour intervention dans le débat budgétaire afin que notre département soit doté de moyens suffisants pour la rentrée 2001.

Le budget 2001 reste loin des attentes exprimées par les enseignants et les parents.

Le SNUipp continue d’intervenir pour peser sur le contenu du plan pluriannuel afin d’obtenir le plan de rattrapage que nous revendiquons pour l’Académie de Nice et afin d’engager une dynamique de transformation de l’école.

Le SNUipp reste persuadé qu’une forte mobilisation unitaire est nécessaire dès novembre.

Il soumet cette proposition à ses partenaires afin que des décisions soient prises dès la rentrée des congés de Toussaint.

Action "Direction d'Ecole"

Depuis la rentrée, dans le cadre de la grève administrative “Direction d’école”, le SNUipp, premier syndicat des Ecoles, revendique une action unitaire sur cette question (cf nos précédents bulletins).

Une rencontre unitaire a enfin pu se tenir le mercredi 18 octobre. Elle a débouché sur un communiqué de presse commun (SNUipp, SE, SGEN), une conférence de presse commune le mercredi 8 novembre et un

rassemblement unitaire
mercredi 15 novembre
à TOULON à 10 h

rendez-vous parking des Lices
(près de la préfecture)
et manif vers l’IA.

    • Il est prévu que chaque école apporte un gros carton rempli de paperasses.
    • Tous ces cartons seront chargés sur un camion qui se dirigera vers l’IA en passant devant la Préfecture.
    • Ils seront ensuite déversés devant l’Inspection Académique où les manifestants confectionneront un mur pour bloquer l’entrée de l’IA.
    • La presse et les médias seront conviés bien évidemment.
    • Une délégation des organisations syndicales demandera à être reçue.

Pour le SNUipp, le dossier “Direction d’école”, c’est l’affaire de tous.

Nous appelons chaque école à être représentée. Ce qui est en jeu, c’est notre quotidien. C’est le fonctionnement de l’école dans son ensemble qui est posé.

Nous avons refusé massivement les “maîtres directeurs” en 87.

Dans le Var, vous avez été près de 1000 à signer une pétition l’an dernier sur ce que nous voulons pour la direction d’école.

Le SNUipp continue de se prononcer contre un statut des directeurs.

Le statut ne constitue ni une protection juridique, ni une garantie de disposer de moyens (de décharge notamment).

Raison de plus pour peser très fort le 15... dans le sens de nos revendications.

Pour une autre Europe, une Europe sociale et citoyenne,
la FSU appelle à participer à la


MANIFESTATION EUROPÉENNE
le 6 décembre à 13h

et aux initiatives unitaires
qui auront lieu pendant le sommet

 

Vendredi 20 octobre
les 4 écoles de Vidauban étaient en grève à 100% pour la carte scolaire

Deux mois après la rentrée, c’est exceptionnel.
Ajoutons le soutien total des deux fédérations de parents d’élèves FCPE et PEEP qui ont de surcroit retiré toutes leurs listes des élections de parents d’élèves pour les 4 écoles et le collège.
Blocage de la RN7 le matin, délégation intersyndicale et avec les parents à l’IA l’après midi.
La solution proposée par l’IA (prêt d’un TM-FC) ne saurait suffire.
Le SNUipp revendique 2 créations de postes (un en primaire, un en maternelle) par autorisation exceptionnelle de recrutement.
Pour nous, il s’agit simplement d’anticiper sur l’augmentation des recrutements à l’IUFM prévue dans le cadre du plan pluriannuel.
Cette revendication a été portée au Ministère le 25 octobre par la délégation du Collectif.

FSU : Occuper tous les terrains (édito Pour-Info 214)

FSU : Salaires, carrières, emploi : ne pas esquiver

FSU : Budget 2001
Note à la presse 30/10/2000

La FSU a été reçue le 24 octobre par C. Forestier, directeur du cabinet de J. Lang.

Elle a exprimé fermement ses inquiétudes au sujet du plan pluriannuel : le projet de budget pour 2001 n’est pas à la hauteur des attentes et des besoins, et est loin de constituer la première étape attendue d’une programmation pluriannuelle ; le gouvernement doit respecter l’engagement pris par le Premier Ministre le 16 mars 2000 ; cela suppose une concertation rapide sur les grands objectifs et sur les moyens mis en œuvre, avec des assurances sur la valeur des engagements que pourrait prendre l’Etat ; cela implique une mise en cohérence qui est loin d’être assurée actuellement.

La FSU appelle à développer toutes les initiatives possibles (démarches auprès des élus, assemblées des personnels…. ) à l'occasion du débat budgétaire à la mi-novembre.

Elle reprend à nouveau contact avec les autres fédérations de l’éducation au plan national.

Elle invite à faire les mêmes démarches dans les départements.

L'objectif est de mettre l'accent sur les objectifs de transformations du système éducatif, avec les moyens et les recrutements correspondants pour le service public.

La FSU entend soumettre à ses partenaires l’hypothèse d’une grande initiative unitaire sur cette question.

Monique Vuaillat Pierre Duharcourt Secrétaires Généraux

Collectif pour le rattrapage des retards
de l’Académie de Nice

Les organisations 06 et 83 du collectif : FCPE - PEEP - FIDL
FSU - CSEN - CFDT - FEN - CGT - SNCL/FAEN

COMMUNIQUE DE PRESSE

Le 26 octobre 2000

Aux journaux :
Var-Matin
Nice-Matin

La Marseillaise
A France 3 Côte varoise
Aux radios locales

Une délégation du Collectif pour un plan de rattrapage des retards de l’Académie de Nice a été reçue au Ministère de l’Education Nationale le mercredi 25 octobre 2000.

La délégation a enfin pu remettre les 40 000 cartes pétitions demandant que l’Académie de Nice obtienne des moyens permettant des taux d’encadrement équivalents aux moyennes nationales.

D’emblée, le représentant du ministre s’est déclaré impressionné par le travail effectué, la mobilisation et le nombre d’organisations regroupées dans le Collectif.

La délégation a rappelé les éléments du plan de développement établi après les actions de l’an dernier : chiffrages des retards de l’Académie pour tous les ordres d’enseignement et tous les types de personnels premier degré, second degré, enseignants et non enseignants.

La délégation a demandé une réponse écrite avec des engagements précis concernant le plan pluriannuel pour l’Académie de Nice.

Forte des 40 000 cartes pétitions remises qui témoignent d’une expression citoyenne, elle a rappelé que, sur cette Académie, les parents, les personnels, les élèves sont dans une situation d’attente mêlée d’impatience.

Le Ministère doit comprendre l’urgence qu’il a à apporter des réponses.

Le Collectif insistera dans les rencontres actuelles auprès des parlementaires pour qu’ils interviennent dans le cadre du vote du budget.

Concernant les créations de postes pour les non enseignants (ATOSS), elles doivent être effectives dès janvier 2001.

Le Collectif académique, qui va se réunir dans les prochains jours, appelle les parents et les personnels à rester mobilisés.

Pour le collectif :
Michel FORTUNA

Pour nous joindre : Tél. 04.94.20.87.33

 

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Nous vous rappelons les dates :
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Mutations interdépartementales, permutations et mutations informatisées

La note de service devrait paraître début novembre au BOEN.

Les nouveautés : plus d’importance accordée aux rapprochements de conjoints (mariés, concubins ou PACS) : à la fois dans le barème (modifié) et avec une nouvelle possibilité de participer pour ceux dont la mutation du conjoint intervient après la fermeture du serveur et AVANT le 9 Mars 2001.

Voir (Fenêtres sur Cours) n°197 du 31/10/2000, page 18.

Les demandes se font par Minitel du 13 au 29 novembre. Vous recevrez un accusé de réception que vous devrez signer et retourner à l’IA AVANT le 15 décembre.

L’annulation ou une modification due à un changement de mutation du conjoint sont possibles, par écrit, jusqu’au 22 janvier 2001.

Demandes pour rapprochement de conjoints (mutation du conjoint après le 29/11/2000) : par écrit AVANT le 9 mars 2001.

Résultats : fin mars 2001.