Sondages

Dossier EUROPE
La FSU et l'Europe - Le SNUipp et l'Europe
Traité Constitutionnel et École
Diaporama : "Analyse de base de la Constitution" - Format ppt - html

Un quizz amusant et instructif...

Ce que l'OCDE prépare...
Décidément NON, ne pas laisser faire !

Mouvement social et prise de conscience

Vendredi 22 Avril 2005 - 58% pour le NON - BVA - L'Express

Vendredi 15 Avril 2005 - 56% pour le NON - CSA  - Le Parisien - Pdf

Vendredi 15 Avril 2005 - 56% pour le NON - Ifop - Paris-Match

Vendredi 1er - Samedi 2 Avril 2005 - 54% pour le NON - Louis harris - Libération

NON à 54% - Ipsos - Le Figaro - Europe 1 - 28 Mars 2005

NON à 55% - 25/03/2005 - Sondage exclusif CSA / MARIANNE
Le baromètre des intentions de vote pour le référendum sur la Constitution européenne

NON à 52% - Ipsos - Le Figaro - Europe 1 - 20 Mars


NON à 51% - Sondage CSA - Le Parisien - 18 Mars
Les intentions de vote pour le référendum sur la Constitution européenne


Texte du SNUipp-FSU - 8-9 Mars 2005 "... Le préambule, et surtout l’article 51-3, posent des problèmes sérieux au regard des principes de laïcité que la FSU défend. Ce texte consacre des orientations qui vont à l'encontre d'une Europe de la justice, des droits, du plein emploi, du progrès social, d'une Europe démocratique, c'est pourquoi le Conseil National du SNUipp a longuement débattu du projet de traité constitutionnel européen et de l'expression du syndicat, il a réaffirmé son profond désaccord à la constitution. Sans donner de consigne de vote, il continue à exprimer sa condamnation et son rejet de la Constitution. Le SNUipp informera publiquement de cette position. Il poursuivra cette campagne d'information et de dénonciation (RIS, Assemblées, presse ...), et participera aux mobilisations et initiatives qui vont dans le sens d'une autre Europe, une Europe démocratique, sociale et plus juste".Lire le texte
Poursuivre la campagne d'information et de dénonciation

 

Le "non" au traité européen continuer à monter dans les sondages
[2005-03-28 19:11]

PARIS (Reuters) - Pour la quatrième fois depuis la mi-mars, un sondage confirme la poussée du "non" au référendum français du 29 mai sur la Constitution européenne, avec 54% contre 46% pour le "oui".

Cette enquête Ipsos pour le Figaro et Europe a pourtant été réalisée les 25 et 26 mars, après la promesse de révision du projet de directive Bolkestein sur les services, susceptible de renforcer le camp des opposants au traité européen.

Le "oui" reste stable parmi les sympathisants de l'UMP et de l'UDF, mais son niveau continue à se détériorer à gauche et 29% des personnes interrogées peuvent encore changer d'avis.

Depuis la précédente enquête d'Ipsos les 4 et 5 mars, le "non" a gagné 14 points, souligne l'institut.

"La poussée du 'non', exceptionnelle par son intensité, est extrêmement préoccupante pour les partisans du 'oui tant elle révèle une profonde inquiétude sociale. La prise en compte, très nette dans ce sondage, de la situation économique et sociale dans le choix électoral le démontre clairement", ajoute-t-il.

Au-delà des sympathies partisanes, sur l'ensemble de la population, la "fronde anti-oui" provoque en l'espace de trois semaines des "dégâts considérables": le "oui" perd près de 25 points chez les moins de 35 ans, une quinzaine de points chez les salariés, et surtout plus de 30 points parmi les Français dont les revenus sont les plus modestes.

"L'enquête a pourtant été réalisée les 25 et 26 mars, soit après que la France obtienne au sommet de Bruxelles une réforme du pacte de stabilité de la zone euro conforme à ses voeux, et la promesse de réviser le projet de directive Bolkestein sur les services", ajoute Ipsos.

Toutefois, la percée du "non" à gauche n'est pas partout irréversible, écrit Pierre Giacometti, le directeur général de l'institut.

L'instabilité reste forte au sein des électorats socialiste et écologiste et les réserves de mobilisation pour le "oui" y sont encore importantes chez les sympathisants écologistes et socialistes.

Pour Ipsos, les Français sont cependant toujours aussi peu convaincus des dangers éventuels d'une victoire du "non".

En effet, la tentative de culpabilisation des électeurs, tendant à vouloir alerter l'opinion sur la gravité des conséquences d'une éventuelle victoire du "non" ne fonctionne que chez les partisans du "oui", écrit-il.

 

Un quatrième sondage confirme la poussée du "non" au référendum
[2005-03-28 18:17]

PARIS (Reuters) - Un quatrième sondage, réalisé par Ipsos pour le Figaro et Europe 1, confirme la poussée du "non" au référendum français sur la Constitution européenne, avec 54% contre 46% pour le "oui".

Cette enquête réalisée les 25 et 26 mars auprès d'un échantillon de 944 personnes est la quatrième donnant le "non" majoritaire dans les intentions de vote depuis la mi-mars.

Alors que le "oui" reste stable parmi les sympathisants de l'UMP et de l'UDF, son niveau continue à se détériorer à gauche, souligne Ipsos dans un communiqué.